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Châtiment
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Châtiment 1er juin 2006, genou IP:4c45b7fb4a3cf8cf
Très beau texte, Delphine, comme tu sais si bien faire. L’homme et l’espoir ou l’homme est l’espoir de l’homme. La migration des hommes pour la lumière existe depuis la nuit des temps, et même si l’homme est l’espoir de l’homme, je ne pense pas que cela change malheureusement. Là, le débat serai bien trop long. J’espère toujours que l’homme changera, mais quand ? Merci Delphine. Bisous Genou
Châtiment 2 juin 2006, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Je ne sais pas si l’homme peut encore changer. Et pourtant, s’il voulait, il pourrait faire de grandes choses dans la paix et l’harmonie, mais bon... l’homme est l’homme et rien de plus !
Merci Genou de ton commentaire.
Bisous.
Châtiment 30 mai 2006, Vanina H IP:29b9ab338d06b222
Un très beau texte, Delphine, et bien sûr je ne peux rester insensible à cette note finale pleine d’espoir.
Pas besoin de divin couroux, l’homme seul va à se perte...
Les hommes de "bonne volonté" auront-ils une dernière chance ?... Je le souhaite pour l’humanité.
Sourire aujourd’hui comme hier... en une ardente prière !
Châtiment 2 juin 2006, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
En effet, l’homme n’aura besoin de personne pour se détruire. Où est donc passé son instinct de survie ? Plus il pense s’humaniser en s’éloignant de l’animal plus il se déshumanise...
Mais l’homme n’étant qu’un homme, il a toujours besoin de rejeter la faute sur quelqu’un et qui est le mieux placé ? Dieu !!
Sourire chagrin... du matin ! (ouh la la, je ne suis pas très inspirée là sur le coup !!! )
Châtiment 27 mai 2006, Jean Pierre IP:f1bb348e88197218
En découvrant ce "peuple des ténèbres" gravissant péniblement son chemin de croix vers une hypothétique lumière, il me semblait revoir Miguel et les siens, sur la route hostile du Perthus, par un jour glacé de janvier 1938...
Comme quoi tous les exils forcés revêtent les mêmes couleurs... Merci en tout cas pour ce rayon de soleil au bout de la nuit.
Châtiment 27 mai 2006, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
C’est vrai que l’exil est toujours une souffrance quelles que soient les raisons qui nous font partir.
Ce texte n’a pas été inspiré par la guerre d’Espagne directement, mais sur ce sujet j’ai écrit il y a déjà pas mal de temps Manuel et 19 août 1936.
Merci de votre lecture et de votre commentaire Jean-Pierre.