Dis-moi 24 juillet 2006, Jacques Collie IP:6127e3cb1709fac2
Peine perdue, Delphine... Pour être passé par ces moments, je crois pouvoir dire que le temps est perdu des amours quand le fil est distendu !
Je me demande même si la présence n’est pas obstacle !
Pour moi tu as touché au but, au cœur !
Dis-moi 24 juillet 2006, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Je le crois aussi Jacques.
Il ne sert à rien de vouloir recoller les morceaux d’un couple qui se brise. Quand le désamour pointe le bout de son nez, nul n’est capable de le chasser.
J’espère que la douleur est supportable.
Merci de ton commentaire.
Amitiés.
Dis-moi 22 juillet 2006, genou IP:398de6574e38918e
Un superbe texte Delphine, un peu de tristesse, de nostalgie, un brin de désespoir : belle réussite. La vie bien souvent nous surprend parfois par la distance de nos sentiments et l’éloignement qui se fait en douceur. Triste moment. Mais il se peut que se sentiment soit d’une autre nature, mais là...
Bisous Genou
Dis-moi 24 juillet 2006, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Dans un de ses livres, André Maurois disait : "je l’ai toujours aimée jusqu’au jour où je me suis rendu compte que je ne l’aimais plus".
Qu’est-ce qui fait que d’un seul coup tout s’arrête ? Une rencontre ? Le temps qui passe ?
En tout cas, c’est comme tu le dis un moment très difficile et très douloureux.
Merci de ta lecture toujours sensible Genou.
Bisous.
Dis-moi 21 juillet 2006, BlackCrow IP:373d6f74a6fe41c9
Magnifiquement beau... magnifiquement triste aussi.
Dur de laisser partir l’autre, cruel de constater les changements de l’autre face à soi, de ne plus savoir qui l’on aime, ni pourquoi... Et l’on aimerait tant comprendre ce qui au final nous laissera abattu et diminué, seul et désespéré. Alors, comme cette voix, qui s’exprime anonymement on en vient à souhaiter une rupture brutale et rapide, que cette lente agonie se transforme en coup de grâce rapide et précis.
Ah... comment ne pas réagir face ce texte lorsque son contenu colle autant à son propre quotidien. J’ai parfois l’impression de vivre dans mon couple une mort lente, collée sur un fragment d’éternité, comme ces mouches que le papier enduit de glue emprisonne sans les empêcher pourtant de bourdonner... Le bruit de leurs calvaires fait écho au mien et j’en viens à souhaiter le coup de ciseau du destin qui tranchera à vif ce qui doit être tranché.
Euh sinon... toujours aussi belle ta plume !
Un fan.
Dis-moi 27 juillet 2006, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Un fan ? Chouette, voilà que j’ai un fan..!
)
Je ne sais pas qui de ton commentaire ou de mon texte est le plus triste Jag.
Oui, c’est difficile d’accepter que rien ne pourra être fait pour retenir le départ de celui qui veut partir et dont la volonté s’affirme comme une gifle au bonheur.
En te lisant, je me rends compte avec tristesse que rien ne change et que tu es toujours la proie de cet amour qui te brise en mille morceaux.
Il est souvent plus douloureux d’essayer de recoller les morceaux de ce qui a été brisé plutôt que de claquer la porte et de ne surtout pas se retourner.
Merci pour ton commentaire toujours aussi sensible.
Bisous.
Une fan.