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Madone
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> Madona 1er mai 2005, Vanina H IP:29b9ab338d06b222
Très beau texte, Luc. La force virile n’est pas en contradiction avec la sensibilité, parfois, juste, elle la cache...
Rien à voir, mais ton récit m’a remis en mémoire l’histoire de ce boxeur qui prenait des coups à tout va, mais qui, à la simple vue d’une seringue, s’évanouissait...
Sourire
> Madona 2 mai 2005
Face à sa mère, un homme, quel qu’il soit, est toujours un petit enfant !
Merci de ton commentaire, Vanina.
> Madona 26 avril 2005, Delphine Lemaire IP:71d881329bd4c24d
C’est une belle histoire Luc...j’aime beaucoup ces personnages aux attitudes brutales et désinvoltes qui se révèlent être des montagnes de tendresse et d’amour. Comme quoi les apparences sont souvent trompeuses....
Merci.
> Madona 26 avril 2005
L’intérêt (je parle de mon intérêt, attention, c’est très égoïste) de ce texte consistait justement à jouer avec les clichés qui collent aux basques des dockers : virilité, grandes gueules, plaisanteries grasses, fanfaronnades... et d’arriver à cette conclusion.
Grand merci, Delphine.