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Petite remise en question
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Petite remise en question 23 février 2007, genou IP:751a87b69a8c1ddc
Pas tout à fait vrai. Car le prix n’a rien à voir avec la rareté des choses. Si tu aimes ton cheval avec ses trois pattes, tu ne le vendras pas, même si on t’en donne le prix d’un étalon entier.
Autre exempe : les femmes sont nombreuses, et elles coutent chers :lol :
Amicalement Genou
La suite n’est pas de moi, mais intéressante :
"Au cas où cela vous intéresserait, férus de logique, voici la solution à l’apparent casse-tête...
Ce syllogisme, qui paraît en bonne et due forme,
[exemple : "Tout homme est mortel ; Socrate est un homme ; donc Socrate est mortel" - Rien à redire]
recèle un vice caché que le philosophe Bertrand Russell a défini. Il s’agit d’une confusion entre classes d’objets. Les adjectifs "rare" et "cher" ne peuvent indifféremment s’appliquer aux mêmes objets : alors que le deuxième peut qualifier n’importe quel être individuel (objet concret), le premier ne peut être attribué qu’à des ensembles d’objets (classe supérieure). Quand on parle d’un "oiseau rare", par exemple, on ne veut pas dire que cet individu est rare, mais bien qu’il appartient à une espèce dont les effectifs sont peu nombreux. Dans le syllogisme qui nous occupe, on observe un télescopage entre deux adjectifs incompatibles pourtant appliqués à un même objet ("du pétrole"). "
Petite remise en question 24 février 2007, Mikaël ROBERT IP:4582adb6fa8564a8
Ce n’est pas faux, surtout ce le prix que coûtent les femmes... lol
Petite remise en question 6 janvier 2007, Jacques Collie IP:bd76a4affd11c082
Pendrait-on de la valeur à se faire rare ?
Ma cote remonte donc !!!!
Petite remise en question 8 janvier 2007, Mikaël ROBERT IP:5c66d89fc051b276
Vous m’en voyez ravi !!!
Petite remise en question 6 janvier 2007, Pierre DKR IP:fe8284f09b543f3f
Un texte amusant Mikael, avec un petit complément d’information : tu fais réference au célèbre syllogisme "un cheval rare est cher, or un cheval bon marché est rare, donc un cheval bon marché est cher" ; c’est un procédé de réfutation bien connu des rhétoriciens de la Grèce antique, et ce n’est pas la "langue française" qui est en cause ici, mais les process cognitifs et la "façon de penser".
Petite remise en question 9 janvier 2007, Mikaël ROBERT IP:5c66d89fc051b276
Merci de l’info