En réponse à..

J’ai longtemps gardé mon armure pour me protéger de ses flèches, mais là il m’en a envoyé une......... j’te dis pas l’impact, armure ou pas je l’ai prise en plein, et c’est tant mieux.
Donc ma conclusion est que quand c’est la bonne, elle traverse tout.
De toutes façons, je crois qu’on choisit pas.
Amitiés.

Roland, j’espère que tu as pris la bonne flèche et que tu veilleras à ce que son effet demeure.

Poètiquement, Claude.

Eros parfois nous joue de bien vilains tours !

Amour toujours, amourette, amour de passage... qui peut savoir le temps qu’il durera !

Merci Claude.

Delphine, il nous reste de l’enfance des blessures qui ne nous aident pas à envisager l’amour en toute sérénité et nous installent dans ce besoin jamais satisfait. Il nous faut symboliser cette frustration pour nous mettre à distance.

Merci de ton commentaire.

Bise.

Beaucoup de contrastes dans ce poème, Claude, qui sans doute prennent en compte les diverses manières dont l’amour peut être perçu et vécu ... Ces flèches que l’on reçoit en plein cœur peuvent être douces ou "venimeuses", mais il n’empêche qu’on ne peut s’empêcher d’être la cible de cet archer bien "tentant" !!!
Un vers qui me laisse un peu dubitative :
"Tu es un soleil à ne pas regarder,
Sous peine d’en perdre les ailes." ...
Eh bien, moi, le soleil j’aime trop le regarder et, tu sais quoi, ben je n’ai jamais perdu mes ailes )

Bise ... sous le ciel gris, mais pas breton !!! (quelques jours de vacances !)
Marie.

Merci, Marie, de ton long commentaire et de ta bienveillance.
Le " Tu es un soleil à ne pas regarder..." symbolise ce besoin d’amour obsessionnel qui fait perdre de vue la réalité.
Je vois deux amours :
1° L’amour immature captatif qui génère la souffrance parce-qu’insastisfait.
2° L’amour mature oblatif qui génère le don et le respect de l’autre, source de satisfaction.

Bise.