Miroir sans reflet 14 mars 2007, Marie L.T IP:89c85db4c269dce0
Un poème trés fort, Paskal :
Ou alors
Quelques implants
Trop adultes
Pour un cœur d’enfant ...
et tout ce qui suit est de la même teneur !
Un vide d’un trop plein d’amour ...
Vraiment beaucoup beaucoup aimé.
Marie.
Miroir sans reflet 30 mars 2010, rien2rien IP:0682b807408bbf65
Merci beaucoup ! 
Désolé de répondre si tard à ton commentaire, Marie => longuement absent de La plume, certaines choses s’y sont - naturellement - négligées ! :o(
Si je suis difficilement pardonnable, La plume m’a également... beaucoup manqué !
Merci encore pour ton com et au plaisir de te retrouver bien vite !?
Chaleureusement,
Paskal.
Miroir sans reflet 7 mars 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Lorsque l’absence de l’autre devient une souffrance de chaque seconde, lorsqu’on en perd le goût de vivre, lorsque face au miroir notre reflet s’estompe et finit par disparaître car notre existence n’a plus de sens en solitaire...
Un texte qui fait mal, car il réveille un vécu que nul ne peut oublier.
Merci Paskal.
Miroir sans reflet 8 mars 2007, rien2rien IP:e9b694eb4dce10cf
Grand merci pour tous ces coucous par le commentaire, Delphine !
Heureusement, le plus gros (enfer) est passé ! 
Cette séparation a représenté "Le grand Phoenix" de ma vie : aujourd’hui, bien que toujours convalescent, j’en récolte doucement les fruits.
Miroir sans reflet marque la fin d’un cycle d’une quinzaine de textes et dizaine de chansons : eh oui !...
Marée de tendresse sous le ciel de tes rivages !
Paskal.
Miroir sans reflet 3 mars 2007, eden blu IP:28c6a184535ca66e
un monde de fantômes quand le silence s’installe, parfois après un gros chagrin d’amour, on aimerait que la mémoire l’efface...On souhaiterait sortir intact, se grandir, ne plus en connaitre la morsure, cicatriser la blessure...très beau texte Paskal qui reflète bien tout le ressenti de la perte de l’autre
baisers éternels
Eden
Miroir sans reflet 3 mars 2007, rien2rien IP:99c3bdcf3271675b
oui, cette fois, je n’ai su me retenir de l’acéré que cette lame réveille lorsqu’elle remue fort à l’intérieur. Ordinairement, c’est "gérable", l’est devenu par la force des choses, mais quelquefois c’est quasi-insupportable, presque au-dessus de toute force, si bien que, là, la poésie court à notre secours, apportant un "soulagement" plus ou moins... prégnant.
"Miroir sans reflet" n’en représente qu’un jalon... de plus, mais dont, comme pour les autres, je suis si heureux !
Merci encore pour l’inestimable beauté et profondeur de tes regards, Eden !
Bisou fort !
Paskal.