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Ombre et lumière
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Ombre et lumière 21 mars 2007, Patrick G. Delay IP:30ade76937a9808d
Superbe poème. mais là je sèche, et poutant cela me dit vaguement quelque chose, un personnage mythologique...
Ombre et lumière 21 mars 2007, papabul IP:05f37d57727c3158
Merci Patrick
j’avoue que je ne sais pas à qui vous pensez à moins qu’inconsciemment je me sois rapproché d’un mythe ? je pensais moi au temps qui passe chaque jour, qui nous marque, et qui, le cas échéant (et là il peut y avoir un double sens) une nouvelle tête sur les épaules veuves
Ombre et lumière 12 mars 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
C’est pour moi cette dédicace ? Touchée je suis, en plein cœur Frédéric, merci !
Je ne pense à personne en particulier en lisant ce texte mais aux hommes en général, ceux qui tentèrent d’ériger Babel pour se rapprocher de leur rêve... le ciel !
La tour toujours inachevée qui devait les amener vers l’idéal qu’ils s’étaient construits et qu’ils n’atteignirent jamais.
J’ai beaucoup aimé.
Merci Frédéric.
Amitiés.
Ombre et lumière 12 mars 2007, papabul IP:0b4f022ab5959275
Héhé, Delphine
un peu pour vous effectivement, suite à votre poême plein de mélancolie sur l’homme qui marche à l’ombre de ses rêves. Une "réponse" pour offrir un sourire en forme d’espoir, même Sysiphe qui est condamné à gravir sans cesse la coline, doit garder l’espoir de pouvoir, un jour, vivre par et pour ses idéaux, bien entendu c’est plus facile lorsqu’on se regroupe et que l’on s’entraîde... lorsqu’on propose à "l’homme" de s’ouvrir aux signes bleus et roses au lieu de les attendre passivement... le larron n’a-t-il pas le droit de provoquer l’occasion ?
C’est moi qui vous remercie de m’avoir donné envie d’offrir un peu d’espoir ou de couleurs à l’homme qui marche à l’ombre
Frédéric
Ombre et lumière 12 mars 2007, genou IP:86056d96d5a7a61d
Difficile de trouver le sujet, je pense au Facteur cheval, les termes de ton poème correspondent.
« Durant les 33 années qui suivirent, Ferdinand Cheval ne cessa de choisir des pierres durant sa tournée quotidienne, les portant d’abord dans ses poches, puis se munissant d’un panier, voire d’une brouette en certaines occasions. Revenu à son domicile, il passait de longues heures à la mise en œuvre de son rêve, ... »
Une réponse assez pertinente du texte de Delphine.
Amicalement Genou
Ombre et lumière 12 mars 2007, papabul IP:0b4f022ab5959275
Merci ’Genou’ pour votre commentaire. J’adore l’œuvre, la sincérité, la naïveté et le rêve du facteur Cheval !
En fait, j’ai également précisé que je n’étais pas réellement dans le sujet en mélangeant audacieusement les mythes... Sysiphe qui vient se faire aider par les constructeurs de Babel.. mais dans le même temps, ne peut on croire ou espérer que la "solidarité" est et reste une valeur-clé, indispensable et malheureusement souvent égarée, pour garder l’espoir en l’humanité ?
Amicalement,
Frédéric