En réponse à..

Là, je crois qu’l faut voir Nestor Burma, les cadavres, il connait. ☺
Je vais allée voir les "Cadavres Exquis", j’ai un peu de mal à suivre en ce moment.
Condensé comme la tomate et de même couleur.
Amicalement Genou

Un maigret de canard (Jounaliste d’investigations criminelles) s’est penché sur le sujet et il a seiché comme un vieux qu’à la mare.
Amitiés
Pascal

Allez hop, Soupir, on prend sa plume et on brode autour de cette histoire pour nous faire un peu plus de 11 lignes !

On dirait le résumé sur couverture d’un roman noir, tu as déjà fait le plus dur, il ne te reste qu’à écrire une bonne centaines de pages... lol

Bon je devais prendre mon petit déjeuner, mais après cette lecture, je crois bien que je vais le zapper !

Bien vu !

Hé Ho, je fais ce que je veux...
déjà avec tout le boulot que tu me donnes, je n’arrive pas écrire un seul mot de mon nouveau roman et tu voudrais que développe les 11 lignes ?
va donc voir papabul, il est és spécialiste de Sherlock.
Désolé pour le petit déj.
Amitiés
Pascal

How stange and odd, bizaaar indeed, pure nonsense !
Sherlock Holmes, se renfonça dans son Chesterfield. Il tendit une main manucurée vers son étui à cigarettes, en retira une Navy Cut, l’alluma avec le briquet Dunhill que l’amiral Bull lui avait offert à l’issue de la fameuse affaire du « Tom Thumb », cet enfant mystérieusement disparu en foret marquant l’histoire du crime d’une série de petites pierres blanches.
Son regard se perdit dans le vide, la main s’arrêta à mi-chemin entre la table basse du salon et la bouche de son propriétaire (on est toujours chez S. Holmes), la fumée dessinait des volutes hindoues dans les rayons du soleil couchant. Soudain, le détective dit à voix haute :
"Ne sommes nous pas, nous anglais, les rois du non sens et tout ceci dépasse tellement notre entendement ! Qu’en pensez-vous mon cher Watson ?"
Le Docteur Watson, qui s’était assoupi en cette fin d’après-midi londonienne, se réveilla en sursaut et dit d’une voix éraillée :
"je demande votre pardon ?" (traduit littéralement)
Holmes écrasa sa cigarette dans le cendrier en cristal de bohème, se pencha vers son ami et lui dit d’un ton mesuré, mais qui néanmoins sentait l’exitation due à l’ambition (et un fond d’irritation, il faut le reconnaître, devant le manque d’attention de son vieux partenaire) :
"Watson ! On nous laisse des indices, c’est un défi que l’on nous lance et nous allons relever le gant cré-vin-d’jieu" (traduction libre)
Le Docteur Watson senti perler des gouttes de sueur sur son front dégarni, visage livide et lippe molle, il tenta d’extirper un son du fond de sa gorge paralysée par un mélange d’inquiétude et de curiosité :
"Mais-maiheuuuuhheurrggurerhhssregh !" (si ça c’est pas de l’angoisse, ça !)
Sherlock se leva et se campa devant son associé de toujours :
"Très fort, ce serial killer, très très fort, enfin un adversaire à notre mesure, enfin !"
"Allez venez, Watson, avant de nous attaquer au problème je vous autorise à m’offrir une pinte de Guinness au « Raymond Chandler’s Inn » (car Sherlock Holmes est un peu radin, il faut le dire...). Grâce à moi nous allons résoudre une des plus grandes énigmes du siècle ! Celle que, dorénavant, et pour les prochains épisodes, nous nommerons le "soupirdesoi’s code" »
A ces mots Watson ne se sent plus de joie et ouvre un large bec, heu, non, là je m’égare, à ces mots, Watson se prépare et note d’une fine écriture illisible (n’est-il pas Docteur ? habile de ses mains : s’habiller et écrire en même temps et on voudrait de la calligraphie !?), note, donc, la dernière recommandation d’Holmes :
« ne pas oublier de contacter l’auteur pour qu’il nous glisse d’autres indices... » (car Sherlock Holmes est avant tout pragmatique..)

Encore ! hihihi
Papabul

Oui, encore !!!
continue, tu es bien meilleur que moi.
Rires
Merci pour ce commentaire désopilant.
Amitiés
Pascal