En réponse à..

Encore un très beau texte. L’absence, un thème recurrent dans ma vie dont tu décris toutes les manifestations avec des mots justes. Tu as raison on peut vivre avec l’absent, j’ai appris à vivre avec et c’est bien là le pire, construire avec l’absent,sur l’absent, autour de l’absent... c’est un travail difficile, comme tu le dis si bien ce n’est plus de la douleur, c’est autre chose que l’on traine...une sorte de mélancolie qui s’est ancrée dans mon oeil et qui ne partira plus. La parenthèse ne se referme jamais tout à fait, c’est ce qu’il faut accepter et c’est cela le plus difficile...
Amitiés

Sans doute qu’il faudrait se mettre d’accord sur ce que signifie refermer la parenthèse... C’est quoi, oublier le manque qu’on ressent, ou décider qu’on peut avancer même en trainant ca ? Peut être que tu as raison, que la parenthèse ne se referme jamais tout à fait, a part avec le retour de la personne. Ce qui n’est pas toujours toujours possible...

Juste une ombre qui s’attache a chacun de tes pas, à chacun de tes gestes...

Merci, Paradisiaque
Amitiés
Sophie

Merci pour le compliment sur le premier commentaire,
"on peut aimer la vie, même avec l’absence" ou "un point de clivage" on avance ou on recule (ou on sombre ?)..

si cela te dis, je met en ligne ce soir un texte sur le sujet "peut-on aimer sans écho" ? l’amour quand l’autre n’est plus là.. (méli-mélo sentimental)
"le prof" qui ne veut pas de ce statut là.. hihi
a + sophie

Ou on sombre ? Oui, mais ca je n’en veux pas ! je veux bien reculer ou avancer, mais sombrer, pas question :p

Je lis, je lis... Et je n’ai plus grand chose à dire, du coup ^^

Tchouss, Frederic ^^

Même si ce n’est plus de la douleur çà reste un texte très émouvant Saskia.
Un constat lucide qu’il faut continuer à vivre avec l’absence, sans faire dans le larmoyant.
Je trouve tout çà emprunt de beaucoup de dignité et de courage.
Amicalement. Clo

Merci, merci beaucoup, Clo...
rien d’autre à dire ^^"
Amitiés
Saskia