En réponse à..

Bon, si je comprends bien on fait comme on le sent et si tout le monde n’est pas content eh bien on s’en fiche et contrefiche, na !

J’avais commencé, dés les premières lignes un commentaire et puis un "J’entends déjà le petit malin du fond de la classe dire "la liberté individuelle s’arrête où commence..." m’a coupé l’herbe sous le pied !!! )

Sinon, je te trouve bien dissipé pour un élève en train de passer un examen de philo... J’vais te mettre au pas, môa et vite fait encore, non mais !!! On fait le malin pour déconcentrer ses petits camarades Môsieur !!!

Amitiés.

M’dame
j’ose à peine vous l’avouer, mais j’ai fais bien pire ensuite avec ce thème du "moi", mon cœur, ma tête et ma passion sont sur un bateau, ma tête est dans la lune, mon cœur s’accroche comme il peut au bastingage pris d’un mal de mer incontrôlable et ma tête tire une tronche pas possible à ma passion pour de bien sombres raisons... , qui tombera à l’au le premier ?

Je sais, je suis dissipé, du mal à rester sérieux, je ne peux m’empêcher, sauf une fois, parole !... Mais je pense avoir été beaucoup trop loin dans le sérieux cette fois là, je me fais peur à moi-même, mais d’où cela sort-il ? Ais-je été hanté par le spectre de mon père, philosophe de son état ? (c’est fou comme j’adorais préparer mes dissertations avec lui, je préparais, nous relisions, il m’entraînait beaucoup plus loin, il me manque).
En fait, quand j’ai lu un commentaire (peu importe de qui, je l’apprécie énormément !) « je préfère le nez rouge », je me suis dit que je n’avais pas envie de ne laisser que cette image là de moi, pauvre petit bonhomme manipulé par son orgueil et voilà où ça le mène ! c’est pour cette raison que je vais enlever le texte en question, il n’apporte rien au site, ni à mon histoire, c’est une démonstration par l’absurde que je cherche toujours à noyer le poisson, que je n’aime pas être « découvert » (j’oublie que je ne trompe plus personne sur ce site...hihi) ... (et en plus je suis poisson : envie de liberté en pleine mer et besoin d’un asile sur où me réfugier...)
Merci, belle m’dame pour ce commentaire éclairant, j’attends avec impatience vos instructions pour apprendre à canaliser mon esprit buissonnier...
Respectueusement,
Votre dévoué élève attentif et suspendu à vos lèvres
F.Sardine

C’est qu’il s’en est donné à cœur-joie sur ce sujet le Papabul !
(Eclat de rire)
Et qu’est-ce qui nous reste à écrire maintenant à nous, puisque tu as analysé tous les cas de figure possibles ?
Je te taquine !
Tes textes sont toujours très enrichissants, je te l’ai déjà dit, drôles et pleins de bon sens.
C’est avec grand plaisir que je te retrouve Frédéric, après quelques semaines de "retraite".
Amitiés. Wouarf !
Clo

Plaisir de se retrouver largement partagé... oserais-je dire que tu m’as manqué ? c’est vrai en plus !
à cœur-joie, je ne sais pas, une inspiration... liée au fait que je n’avais pas envie de me réfugier trop vite sur un "ça sert à rien de chasser le naturel passionnel" ou une pitrerie... j’ai retrouvé un certain plaisir des dissertations d’école..

désolé d’avoir évoqué tant d’idées, mais il en reste d’autres que j’ai "mis en boite" plus court, plus drôle ? à voir..
merci pour le gentil compliment sur le bon sens, cela me touche beaucoup

amitiés à toi aussi
et, puisque tu es de retour, l’occasion se prête à une bise de bienvenue...
frédéric

un peu long ton texte mais c’est bien expliqué sans mots compliqués et avec quelques moments de sourire, très bien Monsieur le philosophe mais je te préfère avec le nez de clown quand même

un peu long ?
tu préfères le nez rouge ?
ben ça alors... moi qui suis si multiple...
je vais en refaire un, plus court, et, j’espère plus rigolo,
à toi de voir...
merci, dans tous les cas de ta franchise
"soeur de nez"...
amicalement,
frédéric