En réponse à..

Bonne image d’une réalité qu’il faut fuir.
La cadence du réveil et le cauchemar de la réalité.
Amicalement Genou

Cette réalité s’impose à moi malgré moi après avoir regardé une image, une
photo qui vous interpelle. Dès lors, imaginez les yeux d’un lapin de
garenne après avoir rencontré les phares d’une voiture. On est paralysé.
On s’agite, on se débat, on écris les mots qui nous vient en cherchant à
les repousser le plus loin possible pour quitter ses maudits phares. La
suite ... c’est souvent un brouillon de phrases et de rimes (si on est en
forme) que l’on organise ou restaure pour le simple plaisir de le faire
lire à ses amis et camarades de la plume. Maintenant, la cadence du texte
et les effets de style, tout m’échappe sauf la volonté de quitter ses
maudits phares.

Ouh la la, je déteste les transports en commun ! Je pense toujours à Brel : "ces métros remplis de noyés"...

Joli poème au rythme cadencé... du tram !?

Merci.

Ma petite Delphine, je compatie avec toi dans ton quotidien de passagé du tram, du métro parisien ou du RER.
Pour moi le caennais, cela reste des vieux souvenirs enjolivés. ¨Ce poême a été réalisé à partir d’un simple photo et il doit faire parti de ses exercices de style que tout bon apprenti doit faire pour se faire plaisir, exister et gérer son quotidien .
Prend bien soin de toi !

J’aime beaucoup ce poème qui reflète assez bien mon humeur du moment.
Je suis heureuse qu’Aimela vous ai montré le chemin de la Plume.
Clo

Je te remercie. Pour moi, recevoir des compliments, ce n’est pas courant. Mais de la part de quelqu’un comme Clo, je dois dire que j’en reste ballot.