En réponse à..

Au dela des mots et de la pertinence que l’on peut certainement y trouver (qui ne rêve pas ici ?), il y a une pointe d’humour qui épice parfaitement ces profondes pensées..
J’aime bien.
Là ou je suis perplexe est dans la capacité (ou pas) d’avoir des choix, on se laisse souvent (trop ?) guider par les évènement. Ne peut-on penser que le larron a le droit de se créer ses occasions, de saisir des opportunités ?
Je crois que les choix que l’on fait (ou pas) nous décrivent mieux que nos caractéristiques personnelles...

Une preuve ? Comme tu y vas !
Toi qui as fait ce choix de venir nonchalant, draguer nos plumes en chantant, mettre un peu de couleur sur leurs joues et des sourires aux lèvres des autres, toi qui surfes sur ces mots, les tiens, les nôtres, et redonnes du relief au vague à l’âme de ces dames...

Hihi, bon concentré de mauvaise foi, non ? (heu, mauvaise vue me convient mieux, hihi)
Je blague...
Évidemment, si tu surfes au bureau...ça ne fait pas rêver le boss (pas une critique, moi aussi...)
En ce qui concerne le futur ’passé’ : moi je continue de rêver...
amicalement
papabul

Mon cher Papabul. Je reste persuadé que l’on ne peut faire le choix d’aller ici ou là.
Croire que l’on peut orienter la direction à prendre est fausse. Le vrai choix ne peut nous apparaitre que si on a vraiment appris à se connaitre.
J’ai moi-même préché ma bonne foi en croyant être dans le vrai dans le choix de mes études. Aussi brillantes et réussis soient elles, je n’avais pas voulu écouter mes camarades et amis. Ils étaient convaincus de mon mauvais choix. Ils me voyaient au quotidien jouer avec les mots, tenter de les faire sourire ou bien faire le clown.
Deux échecs professionnels et une dépression plus tard, les psychologues m’ont vu stressé mais aussi artiste, comique et écrivain.
Tu vois, Papabul, je suis venu dans un atelier d’écriture et dans cette association pour seulement prouver à tous et à moi-même que je ne sais pas écrire.
Vouloir avoir des choix, c’est peut-être de pas vouloir s’accepter soi-même.

Les rêves nous entrainent dans une bulle, sur des hauteurs trop élevées... et lorsqu’elle éclate, on se retrouve au sol tout cabossé.

Il faut juste savoir mettre la barre ni trop haut ni trop bas... mais malheureusement c’est seulement après le grand saut, qu’on sait si c’était la bonne hauteur, c’est à dire à peu près à... la hauteur d’un petit bonheur pas trop prétentieux (sourire)

Mais chaque jour qui passe est un obstacle à franchir et moi-même aujourd’hui, suis à la croisée des chemins "futur" et "passé" je ne sais lequel emprunter pour ne rien regretter
ni calculer l’élan à prendre pour passer cette barre-là.

Bonne chance Philippe pour l’avenir.
Clo

Ma petite Clo. Je ne cherche pas pour ma part à aller plus loin que le bout de mon nez. Je crois que nous avons tous un chemin de vie qui correspond non seulement à un projet professionnel mais à un comportement au quotidien avec ses amis et sa famille. Il peut être si évident, vos proches vous en a déjà parlé. Tout comme le grain de beauté au milieu du visage, c’est ce que l’on voit le plus chez vous, et cela fait votre charme, vous cherchez systématiquement à le caché ou à le faire disparaitre. Il n’y a donc pas de choix mais des évidences à admettre et réaliser.

J’aurai voulu être tout autre chose mais je ne suis que moi même avec mes certitudes et mes angoisses, mes colères et mes joies malheureusement

Ma chère Aimelasorc, merci pour tes commentaires qui permettent d’élargir le débat, même si {a priori}, j’ai écris ce texte sans trop réflechir ni me relire, en cherchant simplement à associer certaines rimes.