-
En réponse à..
Et si c’était à refaire...
- Accueil
- Réactions
Et si c’était à refaire... 3 décembre 2007, Claudie Becques IP:537c6f63a7eb2e7d
Un sujet qui me touche énormément tu le sais... et moi j’ai la chance d’avoir eu la réponse : Non !
C’est un moment de folie, un acte irréfléchi, une envie passagère de fuir que n’importe qui peut ressentir avec une bonne raison ou pas.
Mes pensées t’accompagnent dans cette épreuve. Clo
Et si c’était à refaire... 12 décembre 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Oui je sais Clo à quel point tu as pu être touchée par ce sujet. Pour le moment, il ne parle plus depuis qu’il est sorti du coma, donc pour la réponse j’attendrai...
Je crois aussi comme toi, que certains actes suicidaires obéissent uniquement à une pulsion irréfléchie, une fraction de seconde où on perd le contrôle.
Merci de ton amitié Clo.
Et si c’était à refaire... 2 décembre 2007, Aimelasorc IP:3f8c4be3b18bedf6
Personnellement non mais on ne peut pas refaire marche arrière et ce que l’on a vécu, en bien ou en mal, nous construit, enfin, je l’espère...
Et si c’était à refaire... 2 décembre 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Non en effet, Aimela faire marche arrière ne fonctionne pas et pourtant, ce serait vraiment génial !
Mais dans ce cas, celui d’une tentative de suicide, qui a mon avis est un acte irréfléchi, je me demande si après avec le recul, on referait le même geste.
Merci de ta lecture Aimela.
Et si c’était à refaire... 2 décembre 2007, Babou* IP:8f1eff464cebd7fa
Et si c’était à refaire
Et bien moi je le referais...
Mais mon chemin ne m’a pas mené sur un arbre.
Il y a dans ton texte toute la fragilité de cette fraction de seconde qui fait toute la différence.
Bisous à toi
Babou*
Et si c’était à refaire... 2 décembre 2007, Delphine Lemaire IP:03080766e7c4d5cc
Eh bien moi si c’était à refaire, je ne suis pas certaine que je referais le même chemin... dans les grandes lignes, certainement mais dans les détails c’est une autre histoire...
Il est toujours difficile de comprendre ce qui peut pousser quelqu’un à commettre ce genre d’acte irrémédiable, enfin pour le moment pas encore irrémédiable mais le temps passe et son état n’évolue pas... alors l’angoisse devient impuissance et souffrance.
Merci de ton passage Babou.
Bisous.