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Un papillon blanc au coeur de l’hiver
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Un papillon blanc au coeur de l’hiver 17 décembre 2007, Bernard Blazin IP:aa50a0c8c471d0df
Wahoouuu ! Terrible ce texte ! Il me fait véritablement frémir !
Et j’adore le titre !
Lorsque le désespoir rencontre l’absurde.
Ou bien encore sa destinée !
Bravo pour ce premier texte et Bienvenue sur la Plume
PS : Je me suis permis une petite remise en page plus aéré de votre texte ..
Un papillon blanc au coeur de l’hiver 19 décembre 2007, Thierry DE GRYSE IP:de32544a78eb56ba
Merci pour votre bienvenue sur la plume et l’encrier.
Merci encore pour votre commentaire à propos de mon premier texte sur le site. Voilà un commentaire qui me donne courage. Je viens d’envoyer le second, d’un tout autre genre. Merci à vous. Cordialement.
Un papillon blanc au coeur de l’hiver 16 décembre 2007, papabul IP:2ff099f4a0aee1a9
Un thème bien difficile à écrire et à commenter, c’est souvent tellement incompréhensible pour ceux qui restent… la solitude (manifestement puis que le carillon ne sonnait plus) peut pousser à la folie, mais est-ce la folie ou la lucidité qui conduit à cette décision là ? Ceux qui y pensent sans oser franchir le pas diront que c’est de la lâcheté, moi je crois que le désespoir est un poison
A la fois terrifiant et plein de pudeur, de douceur ce texte, ce qui le rende encore plus terrible, brrrrrr…
Papabul
PS.1. : une phrase de Jean Anouilh que je me répète souvent : "Mourir, ce n’est rien. Commence donc par vivre. C’est moins drôle et c’est plus long".
PS.2. : une question vers la fin du texte : « Nous Savons tous un petit morceau de cette lettre » ou « nous Avons tous… » un morceau de cette lettre, de cette pulsion… ?
Un papillon blanc au coeur de l’hiver 17 décembre 2007, Thierry DE GRYSE IP:7bbb41180829e7f1
Bonsoir,
Je sais terrible ce texte... Je le voulais ainsi et je me dis que j’y suis peut-être parvenu. Je le voulais effroyablement absurde... et aux conséquences tragiques.
"Nous savons tous un petit morceau de cette lettre", c’est laisser à chacun le soin d’y mettre "son quelque chose"...
Merci pour votre commentaire
Un papillon blanc au coeur de l’hiver 15 décembre 2007, Delphine Lemaire IP:aa50a0c8c471d0df
Soyez le bienvenu parmi nous Thierry !
Une histoire bien triste que ce premier texte. On ne sait pas toujours malheureusement percevoir cette petite lueur ou absence de lueur dans le regard de celui ou de celle qui va franchir le pas.
Un texte qu’il m’est en ce moment assez difficile à commenter.
Merci.
Un papillon blanc au coeur de l’hiver 17 décembre 2007, Thierry DE GRYSE IP:7bbb41180829e7f1
Bonsoir,
J’ai déjà essayé de répondre à ce commentaire hier soir mais il faut que je me familiarise avec le site... Cette fois je crois que je vais réussir.
Oui, sans doute, cette histoire est bien triste... Je la voulais aussi et surtout absurde : avoir fait le choix d’ouvrir la porte sur le quiproquo des sapeurs-pompiers que l’on pense dans une démarche de secours, s’y raccrocher quelques minutes, pour voir tout celà s’effondrer tout aussi vite. Et ne pas être en mesure d’en dire le moindre mot à l’autre (On va pourtant approcher le sujet : bavarder sur le "porter secours à l’autre")... Il aurait suffit que, une seule parole et probablement une issue différente... Mais... Je voulais de manière un peu violente, je le reconnais, dire quelque chose de l’infirmité à communiquer.
Merci pour votre commentaire Delphine