Premier forfait 6 février 2009, Freya IP:a94267000773de87
Voilà un premier forfait qui ne peut laisser indifférent quiconque aime prendre la plume.
On ressent très bien cet "amour" du papier, ce respect de ce qu’il nous offre afin que nous puissions nous exprimer.
Ne préfèrerais-tu pas les livres papiers aux livres virtuels qui fleurissent sur internet ?
Amicalement
Sylvie
Premier forfait 6 février 2009, Guido Alaimo IP:07eb0037cff4a4f5
Je suis ravi que ce texte t’ait plu car il abordait le thème de la page blanche, des mots et, surtout, de la tentation, de façon un peu scabreuse.
Effectivement je préfère les livres papier, d’ailleurs je n’ai jamais ouvert un livre virtuel.
Merci Sylvie. 
Premier forfait 11 janvier 2008, genou IP:837cc0442e0a5442
Bonjour Guy,
Pas facile d’écrire un texte sur ce thème. Un exercice bien mené. Une page blanche douloureuse et toujours des fins surprenantes. Bravo
Amicalement Genou
Premier forfait 11 janvier 2008, Guido Alaimo IP:b641fdfeed7d29fc
Oui, heureusement qu’il y la chute (de papier) sinon ce texte serait d’un goût très douteux !
Merci pour ton commentaire et surtout pour le "bravo" : ce n’est pas évident ...
Amitiés de plume,
Guy
PS : merci par ailleurs pour les corrections orthographiques sur mes textes : cela fait désordre et je n’aime pas non plus mais bon, l’étourderie ou l’approximatif ... en tous cas tu es une lectrice (et une "gardienne") pointue : bravo !
Premier forfait 23 décembre 2007, Aimelasorc IP:775a7f4a32bb8a64
Bienvenu sur la plume Guydo J’espère que tu te plairas parmi nous. Je suis ravie de pouvoir te mettre un petit commentaire pour ce joli petit texte. je préfère que cela soit la page qui soit violée par la jeune fille ( enfin si j’ai bien lu )
Premier forfait 23 décembre 2007, Guido Alaimo IP:aa50a0c8c471d0df
Bien sûr que c’est la page ... de jeune fille il n’y en point dans ce texte ! J’avoue que sur un sujet aussi douloureux le parallèle est "osé", mais ce n’était qu’un déguisement. Merci de l’avoir quand même apprécié et commenté car un texte ne vit que par ses lect(eurs)(rices).
Grazie mille pour la bienvenue : je sens qu’ici je vais me plaire ... 