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L’inconnue
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> L’inconnue 15 juin 2005, Delphine Lemaire IP:909383e8ac776e35
A travers ce texte tu soulignes bien ce manque de communication qui mène le monde. Dés qu’une situation est hors norme, nous ne savons comment réagir et l’envie de savoir alliée à la peur nous fait réagir de façon insolite...
Merci Aimelasorc
> L’inconnue 7 novembre 2005, Aimelasorc IP:dd8f0a1a039b36e9
Ce n’est pas le manque de paroles qui me gène mais le manque d’écoute. Tout le monde parle mais combien écoute obnubilé par soi ?
> L’inconnue 15 juin 2005, Viviane IP:20b5ef80b478805d
C’est bien que tu illustres ainsi un des travers de l’être humain, le voyeurisme. Hélas entretenu par la presse qui cultive les penchants de l’être humain pour le saignant, le noir, le triste, le sensationnel au sens le plus glauque.
A la campagne, on est plus attentif qu’en ville, la proximité y est d’une autre nature, le voisinage a encore du sens. je n’aimerais pas vivre dans une de ces cités ou chacun ignore l’autre...
> L’inconnue 15 juin 2005, Aimelasorc IP:1d1b38ac213e4d1f
A la campagne , c’est aussi pire qu’en ville, crois moi. Les gens sont tellement attentifs qu’ils sont "chez nous " et ils racontent n’importe quoi. Que de souffrances. C’est pour cela que je me suis réfugiée en ville. Là, je peux choisir qui je veux voir ou non quand aux voisins, c’est bonjour , au revoir, un petit mot gentil dehors, c’est tout. Merci Viviane
> L’inconnue 14 juin 2005, Vanina H IP:29b9ab338d06b222
Les faits divers monstrueux ont une telle "popularité" dans nos medias que l’on n’ose plus rien... si ce n’est se faire des films dans la tête, imaginer le pire, le glauque...
Pourtant, il m’arrive encore de prendre des auto-stoppeurs dans ma voiture, mes proches me disent que je suis inconsciente... moâ je fais juste ce que j’aimerais que l’on fit pour moâ...
Merci de ce regard lucide, Aimelasorc.
Sourire
> L’inconnue 15 juin 2005, Aimelasorc IP:909383e8ac776e35
Tu es comme moi, tu as du mal à voir le méchant, dans l’humain. J’ai eu énormément d’ennuis par mon manque de discernement. C’est comme cela, tant pis.
Merci Vanina