En réponse à..

C’est avec l’âme qu’on peut entendre le bruissement des roseaux... Quand on n’a plus rien à prouver aux autres et plus encore à soi-même ; quand on a compris que le beau dans le vitrine n’était qu’un leurre : l’essentiel se passe dans l’atelier ; c’est là qu’a lieu l’alchimie, la transmutation. C’est là que le vacarme se tait, contenu par la création, là, dans l’ombre. Ouvrir les oreilles de l’âme...
Ce texte est magnifique Guido !

Oui mon amie :" Ouvrir les oreilles de l’âme " ... le Petit Prince ne l’aurait pas dit de façon plus évocatrice ...
J’aime beaucoup ta comparaison entre la vitrine ostentatoire et l’atelier ... du cœur : j’aurais aimé la trouver ! Mais dans notre monde d’apparences et de clameurs, il est bien difficile de ne pas se laisser entraîner.
Reste donc à se prouver en permanence à soi-même sa capacité à écouter le bruissement du pinceau sur la toile, dans l’atelier ...
Je suis très touché par ton compliment.
Beezzzzz !

Les musiques du cœur sont les plus harmonieuses loin de la cacophonie de ce monde, surtout lorsqu’elles sont rythmées par les battements de la passion.
Merci pour ce moment très agréable à déguster au bord d’une rivière ... celle des émotions ...
Amicalement
Freya

Le "rivière des émotions" ... une image bien poétique.
Et c’est bien de musiques pianissimo dont il s’agit.

Merci d’avoir si justement ressenti ce texte.

Amicalement.

Les émotions à voix pastel, les bruissements légers, tout ici me plait, la musique derrière les cymbales, ou devant, c’est selon, je l’entends.
Merci pour ce beau texte.

J’apprécie beaucoup que tu aies "entendu" les murmures et la musique des bruissements ... moi- même je me trouve parfois trop "bruyant" !
Merci à toi pour ton commentaire et ton bien beau compliment...

A te lire.
Guy