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Mendiant mort ou vivant
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Mendiant mort ou vivant 21 février 2008, Aimelasorc IP:1ad7a30ce6e200bf
Wouah ! Un nouveau caennais, bienvenu sur la plume et doublement en plus étant de Caen moi aussi :) J’aime la poésie libre et j’adore Prévert alors ton poême me plaît bien
Mendiant mort ou vivant 21 février 2008, dijor IP:15ecd466fc00e789
Merci beaucoup,
Nous sommes donc nombreux de Caen içi !
Moi aussi j’aime beaucoup Prévert, et je te remercie de comparer mon style au sien, bien que je n’arrive pas à son petit doigt de pied !
Bonne continuation
Mendiant mort ou vivant 20 février 2008, papabul IP:7e0679d89c41e518
je ne vais pas répéter ce qui a déjà été dit sur le rythme et l’intensité de ces mots alignés...
sur le fond, il est là, il n’est pas mort, il mourra peut-être rapidement, mais nous sommes morts, nous qui ne pouvons plus éprouver d’émotions face à cette misère, à cette détresse, nous qui courrons des illusions, le superflu, sans se préoccuper de la vie des hommes, oui nous sommes morts...
papabul
Mendiant mort ou vivant 21 février 2008, dijor IP:15ecd466fc00e789
Merci beaucoup,
C’est vrai que "l’intrigue" peut paraitre un peu abstraire, en fait j’ai médité sur ce que nous considérons êtres en vie. Etre en vie, est-ce dépenser de l’argent, avoir une vie sociale remplit ou simplement avoir un cœur qui bat. Est-ce que rejeté toute sociabilité n’est-ce pas réellement vivre ? Car sans être pré-formaté c’est la qu’on vie réellement la vie qu’on doit vivre.
Encore merci
Bonne continuation
Mendiant mort ou vivant 20 février 2008, nicolas_prieur IP:64444bdfeeeeb484
Beaucoup d’émotions dans ce poème ! Quelques petites coquilles à quelques endroits mais par contre j’aime beaucoup l’absence de règle dans l’écriture de ce poème car c’est en phase avec l’absence de règle dans la vie de ce mendiant.
Bravo !
Nicolas.
Mendiant mort ou vivant 20 février 2008, dijor IP:15ecd466fc00e789
Merci beaucoup,
la encore je souhaite renouveler mes excuses pour ces différentes coquilles en rappelant qu’elles sont impardonnables vu qu’un poème pour vivre doit être lu, et toutes les nuances de la lecture sont dans l’écriture.
Je reprend le même exemple :
"Il était là, mort
Il était la mort"
En suite le côté totalement sans règle du poème m’a été inspiré en pensant un mendiant.
Ce poème est en quelques sortes asociales et c’est pour ça que je ne l’ai pas trop retravailler, quoiqu’un peu comme m^me !
Merci encore pour vous encouragement.