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Le poids du Silence
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Le poids du Silence 11 décembre 2005
Cette douceur passée
Je n’en ai rien gardé
Sur le chemin de la vie
La vie m’a tout repris
bien éloquents sont ces vers tristes et sans illusion la vie continue et..la lutte qui s’ensuit
amitiés
raymonde
Le poids du Silence 16 décembre 2005, genou IP:8d981c05408e3183
Merci Raymonde de venir partager ce Silence et la douleur du moment. Oui, la vie continue, mais sans but. Amitiés Genou
> Le poids du Silence 8 septembre 2005, Moun IP:b2580cfeb18ff6c7
Difficile d’oublier le passé douloureux. On prend ce que l’on nous donne et bien souvent ce n’est pas à la hauteur de nos espérances. Et pourtant on donne, on a donné mais rien n’y fait, le sort s’acharne. Est-ce dû à nos choix qui ne sont pas judicieux surtout en amour où le cœur supplante bien souvent la raison ou cette loi des séries dont tout le monde parle ? Juste une petite interrogation après lecture de ce texte qui fait mal.
> Le poids du Silence 26 septembre 2005, genou IP:fb60ecfadf64b412
La douleur est toujours aussi présente. Pour le moment, je ne parle qu’avec mon cœur. Mais dans tes textes, je vois aussi beaucoup de souffrance et je sais que tu peux me comprendre. Merci Moun.
> Le poids du Silence 6 août 2005, patrcik IP:23dc3cde110c8362
Il reste des images tenaces notamment "donner" et "reprendre". Pour le dernier mot, je reprendrais volontiers quelques vers de plus car votre plume s’envole de tristesse mais ô combien plaisante à lire.
La Vie (puisque d’elle il s’agit) serait donc douée d’intelligence (ce qui reste à démontrer) et s’offrirait pour ensuite se rétracter comme la dernière des câtins ou plus prosaïquement comme le simple mortel qui n’a de cervelle que le nom. Mais que non
! La Vie n’est que suite, série que le temps égrène et sur laquelle on n’a prise. En revanche, je veux bien vous donner un baiser pour vous faire oublier mes errances.
> Le poids du Silence 30 août 2005, genou IP:2ea56f314f43e7ef
Je suis restée sans voix en lisant votre commentaire.
Toujours précis, toujours construit, vos commentaires touchent profondément.
As-t-on vraiment prise sur la vie, je ne crois pas. Déjà à la naissance, nous n’avons aucuns choix. Naître ou ne pas naître. Puis le lieu, le milieu familial, etc… plus tard peut-être...
J’accepte volontiers votre baiser, vos errances sont presque des compliments, venant de vous.
Amitiés