En réponse à..

Que dire, que dire... après tout on peut ne rien dire et ce serait amplement suffisant car ici justement on ressent suffisance.

"Quand je te vois je goutte" me glace ainsi de stupeur.

je remet les commentaires en ordre que Bernard m’a fait apparaitre. désolé de repondre aussi tardivement et merci de ta critique constructive.
Amitiés..
LGilles

le titre m’a fait saliver car il est tout à fait dans le registre de ma propre inspiration. L’idée est bonne mais ton poème me paraît devoir être davantage travaillé. Il y a des choses qui me bloquent quand je le lis à voix haute "quand je te vois je goutte" "cœur en activation" "fille de Maladives".
il y a alternance de vers à 6 et à 8 pieds mais certains sont à 7 "filles de la Guadeloupe"...
Mais continue à puiser ton inspiration dans les parfums de vanille, le résultat n’est jamais triste.
Amitiés Eric

La rime l’a emporté sur certaine phrase et ce n’est apparemment pas au goût de tous. Personnellement. Quand je te vois je goutte. Je me voyais transpirant devant un corps brûlant se déhanchant dans tous les sens.
Amitiés..
LGilles
Désolé pour le retard. Un oubli de ma part

L’exotisme des parfums et des peaux fait toujours rêver (sourire).

Joli hommage.

desolé de tant de retard pour avoir repondu. merci de ton commentaire.
Amities..
LGilles