> Jeu dilué 14 juillet 2005, Vanina H IP:cd01c3edbddd0724
J’ai du mal à entrer dans ton texte, il est pourtant bien construit même si je n’y retrouve pas le rap de la rue.
Je suis ennuyée car je n’arrive pas bien à comprendre pourquoi...
Je vais donc m’arrêter là.
Sorry, Viviane. Sourire
> Jeu dilué 15 juillet 2005, Viviane IP:246a3007e6cd8074
Ne sois pas ennuyée, Vanina, parfois on a du mal à entrer dans les textes des autres, cela veut aussi dire que ce texte il faudra sans doute que dans quelques temps je le retravaille pour qu’il parle davantage, je prends ton retrait comme nourriture plus que comme soustraction (sourire) et bisous !
> Jeu dilué 13 juillet 2005, Moun IP:3a1f8c1ba17f183a
wow ! Ca balance ! Je rejoins un des commentateurs qui dit que le rythme vient naturellement à la lecture. Exercice, si j’ai bien lu tes réponses aux commentaires 
, qui donne la migraine !
Quant au fond, tout a été dit... je ne vais pas plagier les excellents commentateurs qui m’ont précédée !
Bonne soirée et bravo pour ce texte !
> Jeu dilué 15 juillet 2005, Viviane IP:246a3007e6cd8074
Exercice en effet puisque dans un Atelier d’écriture ou en compagnie joyeuse je découvre mille facettes de "l’ecrire", la contrainte était le dico perso. Mais les contraintes m’a dit un jour un ami sont faites pour être dépassées, et cela me convient complètement (sourire). Là, il y avait de la tristesse, que j’ai essayé de masquer sous du rythme.
merci de l’avoir senti, Moun, amicalement à toi.
> Jeu dilué 13 juillet 2005, patrcik IP:3b4f8985139267c7
Le rap me gonfle mais à un point ! Bref... j’ai lu jusqu’au bout et la musique est venue sans difficulté. Etrange ? Non car de Viviane je n’en attendais pas moins. Je crois que c’est une des rares personnes à me donner envie de ce que je n’imagine même pas.
Puis la chute mérite une standing ovation.
Savoir écrire c’est à la fois partager mais avant tout donner envie sans préjugés (j’te raconte même pas comment c’te meuf elle est canon).
> Jeu dilué 15 juillet 2005, Viviane IP:246a3007e6cd8074
J’te dis pas comment ce mec il commente, avec quel brio (excusez moi, je suis incapable quand je m’adresse à vous de prendre une tonalité de langage qui ne soit complètement courtoise, au sens ancien du terme et... le vouvoiement nous va si bien !)
Je suis heureuse que vous ayiez entendu le rythme et soyiez allé jusqu’au bout de cette danse pas franchement gaie... Merci Patrcik, de cette lecture qui réchauffe mes joues.