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Le mot tue où la lame s’émousse, le verbe assassine la verve, mais les combats persistent et à défaut d’un sang de gloire coule aujourd’hui un sang d’encre.

La blessure est la même bien que le trépas n’y soit plus.

Texte qui résonne en ridiculisant l’épée comme la plume du ferrailleur et de l’écrivaillon.

Bonjour sertao et bienvenue sur La Plume ! Je vous remercie pour votre commentaire même si la dernière phrase me semble un peu sibylline... Il n’est question ici que des "démolisseurs" qui sévissent dans les medias ou bien encore sur certains sites politiques ou d’actualité ! Un pseudo ou de simples initiales permettent bien sûr toutes les outrances. Ca n’a jamais été le cas sur La Plume que je fréquente depuis nombre d’années... Bonne journée ! Cordialement, JC

Bonjour Jean-Claude. Très juste analyse de notre époque où des esprits malins s’amusent, avec quelques mots choisis, à déclencher des passions, souvent haineuses et ne permettant pas, souvent, d’avoir une opinion différente. Tes mots à toi, sont bien choisis, pas pour la haine mais pour une meilleure compréhension de l’ambiance actuelle. Amitiés

Bonsoir et merci, Annie ! Comme le dit si bien Ris, nous en sommes au temps des faces cachées ; ça remplace le face-à-face, c’est bien moins sanguinaire mais pas gratuit pour autant... Ainsi va le monde. Amicalement. JC

l’ère des faces à faces - d’homme à homme -
à l’ère des faces cachées

les mots ont toujours été des armes aussi
mais savoir au moins qui est au bout du stylet .. stylo

merci encore un sonnet qui sonne bien

amitiés

Bonsoir Ris ! Comment va ? J’ai un peu modifié la forme du sonnet depuis ton com. mais ça ne change en rien le fond...
C’est vrai que les mots ont toujours été des armes et les pamphlets d’antan en sont la meilleure preuve.
De nos jours,ce qui me gène le plus ce sont les attaques en règle, souvent injustifiées, que subissent certains personnages, politiques ou autres, à partir d’informations incontrôlées la plupart du temps... Tu as raison, c’est le Temps des faces cachées ! Ce qu’il faut c’est vendre du papier, toujours et encore. Bon, je ne referai pas le monde ! Bonne soirée... Amicalement. JC