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Au café Souvenir
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Au café Souvenir 27 janvier 2006, patrcik IP:674ead0aa75bbc09
Nouvelle lecture mais uniquement corrective, si tu l’autorises (sinon se référer au forum sur l’utilité des conventions) :
"Cet homme-là" induit un tiret comme à chaque fois que "cet" et "là" encadrent un mot.
"je plongeais" ou "je plongeai" induisant l’action après la réflexion ?
"entrapercevoir" ou "entr’apercevoir" les deux sont admis, le choix reste peut-être différent du tien.
"égal" ou "égale", cela me l’est aussi mais est-ce le cas de son arrogance ? Nom ou adjectif, probable accord.
"ou" ou plutôt "où" se griffonne un mot accentué ? Et qui sont donc ceux qui sont "griffonnés" ? Je suis, ils sont au pluriel.
Bon, je capitule sur les deux points finaux mais trois auraient plus fière allure et laisseraient un espace avant de déposer "Papa" !
C’est ainsi convenu mais qui puis-je ? Après tout que savons-nous de "nos" futurs lecteurs ?
Au café Souvenir 2 février 2006, Bernard Blazin IP:0a3ceb433d28e235
Et bien celui-ci n’était pas piqué des vers côté orthographe !
Encore un grand merci à toi, Maître ;o))
> Au café Souvenir 15 mai 2005, patrcik IP:905747f7a571df73
Chute habile, chute intime, respect. Belle narration vraiment et même si on pourrait penser que ce flashback est écervelé, ma foi chacun y voit ce qu’il veut, comme à la terrasse du café où l’on croise souvent sa propre image.
Samedi je conversais gaiement avec quelqu’un qui m’affirmait que nous étions à l’école ensemble. Le hic s’avéra quand il m’indiqua sa date de naissance : quatre pleines années de moins que moi. J’avoue ne pas avoir été élève brillant mais quand même !)
Allez ce texte me séduit par sa formulation très belle et par son idée : une bonne bouteille contenu/contenant.
> Au café Souvenir 15 mai 2005, Bernard Blazin IP:b5b75f3167632c19
J’aime bien ce que tu dis là, Monsieur Besse ;o)
A la terrasse du café, on croise souvent sa propre image...C’est vrai, qu’au travers les reflets de vitre pas toujours propre, on peut apercevoir des âmes à la recherche d’autres qui ne sont qu’elles...
Et toi qui connais sans doute bien ses petits cafés vers la Place de la Martinière, sous les grands platanes toujours agités par la brise entre Saône et Rhône, j’aimerai m’imaginer en ta compagnie ;o)
> Au café Souvenir 7 avril 2005, genou IP:e3940d57259e75fe
Comme un mirage, ils reviennent parfois -
Toujours aussi beau
> Au café Souvenir 15 mai 2005, Bernard Blazin IP:b5b75f3167632c19
J’ai honte, Genou, de ne pas t’avoir répondu avant...
J’ai doublement honte car un compliment ainsi, ne devrait jamais passer inaperçu...
Merci à toi ;o)