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Une femme un enfant
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Une femme un enfant 21 août 2015, Gigi IP:38fb13b3f9c782c5
Bonjour Maya
C’est difficile de mettre des mots au bas des vôtres. Je suppose qu’écrire ce manque fait du bien, malgré les hauts et les bas que cette situation doit engendrer. L’écriture est un exutoire.
Mes encouragements
Une femme un enfant 22 août 2015, Maya IP:098f62c18eba3e67
Bonjour Gigi,
vous avez raison, l’écriture peut être un exutoire... Je n’ai manifestement pas écrit ces mots sans raison. Cela dit, comme je l’ai dit aux autres, je me porte bien et c’est là l’essentiel.
Merci de vous être arrêté sur mes mots.
Maya
Une femme un enfant 11 août 2015, Freya IP:2f98acd58280f261
Très émue par tes mots, d’autant que ma meilleure amie est dans ce cas et traverse une mauvaise période en ce moment.
Merci pour ton joli poème.
Une femme un enfant 12 août 2015, Maya IP:c19d12363072b6e7
Bonjour Freya,
je comprends que cela puisse faire souffrir, mais il faut bien aller de l’avant et faire avec ce qu’on a. Les aléas de nos vies font parfois que l’on n’a pas la chance d’avoir d’enfants, mais dans mon cas, je sais que je n’aurais pu faire autrement.
Peut-être les regretterais-je plus tard, quand je réaliserai vraiment que je n’ai pu avoir ni enfants, ni petits-enfants...
Pour l’instant, je me réjouis d’avoir une nièce formidable que je vois de temps en temps, et un neuveu. Ils me comblent en tant que tante. C’est déjà ça.
Bonne journée !
Une femme un enfant 11 août 2015, JCJugan IP:f78cfeb10b9f87f5
Rebonjour Maya ! Difficile de commenter ce poème dont la lecture m’a touché pour des raisons que je ne peux pas développer ici... Bon courage et bonne soirée
Une femme un enfant 11 août 2015, Maya IP:c19d12363072b6e7
Salut Jean-Claude,
ne t’en fais pas, je ne suis pas triste. Je fais la part des choses. Je tâche dans ma vie d’être un tant soit peu philosophe. Sans cela, je sombrerais.
Je comprends que ce texte ait pu te toucher, qui ne le serait pas face au sourire d’un enfant et à la tendresse d’une mère ? Et puis, bien sûr, il y a le vécu de chacun avec ses hauts et ses bas.
Ces mots me sont venus en observant une photographie que j’ai trouvée magnifique, bouleversante.
A tout bientôt, cher Jean-Claude.