I
" Nous sommes là pour vous aider…Nous ferons de notre mieux. ".
Ils prononcèrent tant de mots que je m’y perds un p’tit peu.
I
dans un instant d’inattention ; l’erreur à ne pas commettre.
Quelque chose tapit dans l’ombre m’épie en donnant l’alerte.
J’ai peur …J’ai peur …
A
gelé par un peu de neige, pour une poudreuse enivrante.
Qui sait si j’verrai demain : j’ai la vie sur liste d’attente.
Je pleure … Je pleure …
Maintenant, j’ai bien plus peur de l’amour que de la mort ;
jeune homme modèle est mortel dans le moindre corps à corps.
Peu importe c’qui m’arriv’ra, j’n’attends plus de jours meilleurs,
car, j’ai quatre lettres en moi, qui m’dévorent de l’intérieur.
I
ne jamais plier genoux, même au plus fort de tempêtes !
Mais, comment faire pour rester fort quand les gens tourn’ront la tête ?
Que dalle …Que dalle …
J
Oh, je sais ! C’est de ma faute ! C’est moi qui t’nais la seringue.
Je voulais juste m’évader de cette existence de dingue.
J’ai mal …J’ai mal …
Maintenant, j’ai bien plus peur de l’amour que de la mort ;
jeune homme modèle est mortel dans le moindre corps à corps.
Peu importe c’qui m’arriv’ra, j’n’attends plus de jours meilleurs,
car, j’ai quatre lettres en moi, qui m’dévorent de l’intérieur.
I
mon visage sur le billot, la lame qui frôle mon cou.
Dois-je attendre la Grande Faucheuse, sans me battre jusqu’au bout ?
Souffrir…Mourir…
J
même si l’parcours devait s’faire entre oubli et solitude.
Laissez-moi toucher mes rêves et prendre de l’altitude :
je ne veux pas partir !
e ne demandais qu’à vivre au milieu d’la multitude,ls me diront ce qu’ils veulent ! Je me sais seul, avant tout ;e devrais me tenir droit, alors que ma vie s’déglingue ?ls m’ont dit qu’il me fallait tenir bon jusqu’à perpète ; cause d’une aiguille salie, me voici dans la tourmente ;ls m’ont dit q’j’avais laissé une porte trop grande ouvertels m’ont demandé d’m’asseoir ; me dirent d’un ton affectueux :