Passé le môle Saint-Louis
Arriveraient les grands espaces
Nous partirions en pleine nuit
Pour pas qu’on nous suive à la trace
La mer nous ouvrirait ses bras
Ses vagues guiderait nos pas
Vers des horizons nouveaux
Des îles où il fait toujours beau
Alors commencerait l’aventure
Le vent panserait nos blessures
Avec le ciel pour seul patron
Pour toute radio nos chansons
Nous oublierions tous nos tracas
Les découverts, les fins de mois
Les oiseaux pour seuls compagnons
Pour toute escorte les poissons
Puis un jour on débarquerait
Sur une plage au sable d’or
Et devant nos yeux il n’y aurait
Que le soleil pour tout décor
Les vagues berceraient nos nuits
Les dauphins seraient nos amis
Je composerais des chansons
Pour y faire rimer ton nom…
Et puis mon réveil a sonné
Il est temps il faut se lever
Je vais vite boire mon café
C’est l’heure d’aller travailler
Retrouver les emmerdements
Et recroiser les mêmes gens
Tout ça n’était qu’une utopie
Peut-être y rêves tu aussi
Arriveraient les grands espaces
Nous partirions en pleine nuit
Pour pas qu’on nous suive à la trace
La mer nous ouvrirait ses bras
Ses vagues guiderait nos pas
Vers des horizons nouveaux
Des îles où il fait toujours beau
Alors commencerait l’aventure
Le vent panserait nos blessures
Avec le ciel pour seul patron
Pour toute radio nos chansons
Nous oublierions tous nos tracas
Les découverts, les fins de mois
Les oiseaux pour seuls compagnons
Pour toute escorte les poissons
Puis un jour on débarquerait
Sur une plage au sable d’or
Et devant nos yeux il n’y aurait
Que le soleil pour tout décor
Les vagues berceraient nos nuits
Les dauphins seraient nos amis
Je composerais des chansons
Pour y faire rimer ton nom…
Et puis mon réveil a sonné
Il est temps il faut se lever
Je vais vite boire mon café
C’est l’heure d’aller travailler
Retrouver les emmerdements
Et recroiser les mêmes gens
Tout ça n’était qu’une utopie
Peut-être y rêves tu aussi