Mandelieu la Napoule le 27/12/07
Cher Père Noël,
Avec quelque retard, je vous envoie ma missive annuelle. Sachez que c’est volontairement que j’ai laissé passer la date limite.
Si j’ai longtemps attendu et toujours repoussé, c’est que ma vie se porte mieux, et que je ne voulais écarter votre attention d’autres sollicitations !
Vous faites tant de bien en trop peu de temps, qu’il serait souhaitable que vous revoyiez à la hausse votre temps de travail... Le monde ne s’en porterait que mieux !
C’est que, si je ne demande rien pour moi, je crois quand même au Père Noël.
Profitez bien de votre repos annuel et revenez bien vite, s’il vous plait, réchauffer le cœur de ceux qui souffrent...
P.S. : Vous avez du avoir connaissance qu’un gentil fou habitant à Thiercelieux en France a incité d’autres personnes à inclure dans leurs lettres des phrases du genre : « Je n’ai jamais vu des cerises pousser sur un poirier » ou « Si le lion aime la viande, la souris adore le fromage » ou encore, « Je fais du vide alors prenez ce que vous voulez ». Je vous prie d’avoir beaucoup d’indulgence...