A l’"origine" du "malaise",
La rentrée empêche de se "recueillir",
Sur le "carnage" d’aise,
Que le "relâchement" estival a fait jaillir.
Une âme "vieillissante" ,tel "cristal" terni,
Se dirige, à la vitesse d’un "avion" sans ascendance,
Vers l’école, qui sans "concorde" affermie,
N’offre pas à "boire" en abondance.
Je préfère "être pendu par les pieds, ça fait circuler le sang".