Alors que le soleil a pour "escorte" un ciel "mauve",
Que le vent a pris un aspect "bestial",
Je viens te "susurrer" tel un "Lord" en alcôve,
Une "page" de voeux,grandeur abbatiale.
Mais trève de "balivernes",
Avant que mon vin ne tourne en "vinaigre",
Je te souhaite,"acteur" de ta vie qui hiberne,
Et de "joindre" l’utile à l’agréable sans faire maigre.
Que de voeux comme ceux-ci
J’aimerais recevoir,
Plutôt que ceux habituels, merci,
Chaque année nous échoir.