Le tumulte n’en est pas moins assourdissant lorsque la vague naît de l’intérieur. Elle renverse de l’établi des grains alphabets, d’où jaillissent de nouveaux mots à sirène.
Le partage est alors une balade à dos de cœur, ondulée de ces instants ou les flots frissonnent de peaux qui se frôlent sur des plages interdites.
Et l’absence scinde le radeau amoureux sur les rochers d’un large solitaire d’émoi.
Point d’accalmie entre ces deux contrées, juste le flux et le reflux des sensations, et tangue la vie…