Sauf que ce papillon-là a une famille de papillons. Peu importe. Ca t’arrive enfin ! Tu ris. Tu es heureuse. Tu planes. Deux adolescents en plein délire.
Mais qu’est-ce que c’est bon ! Une renaissance. Le noir disparaît. Tu vois le bout du tunnel. Orphée et Eurydice. Ne te retourne pas. Tu avances. Tu ne marches plus, tu cours. De tout ton cœur. Un rêve éveillé. La joie revient.
" Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre.
Que cette heure arrêtée au cadran de ma montre.
Que serais-je sans toi qu’un cœur au bois dormant.
Que serais-je sans toi que ce balbutiement.
Je vois parfois celle que je n’eus manqué d’être.
Si tu n’étais venu changer ma destinée."