Tout d’abord, il y a celle avec qui je suis en perpétuelle bataille. Cet être que je recherche intensément, qui retire quelques pointes d’agaçements de par sa spontanéité, ou qui me pousse à faire des choses bien. Puis y’a celle pour qui je n’ai pas les mots, juste la haine qui pend à mes lèvres...
Y’a elle, pour qui je n’ai aucun mot
À côté, ces personnes aux idées si bien ancrées dans la tête, au cœur si grand, l’esprit tellement délirant, la souffrance écrasée lorsqu’ils ont à vos côtés.
Et si peur de remonter de mauvais souvenirs, ressasser un passé ou un présent trop douloureux en abordant un sujet délicat.
Grands frères..
Y’a ceux pour qui je n’ai pas les mots
Celui pour lequel j’me ronge les doigts jusqu’à la moelle. Oh, si tu savais à quel point pardon ! Sincèrement...
Y’a celui pour qui je n’ai pas les mots
Une petite flèche de jalousie ajustée vers mon cerveau, un manque de sucre dans mon thé, un trop plein d’acide dans les groseilles.
Si tu savais comme j’aimerais en revenir à avant ? Plus l’angoisse du vide, de te voir apparaître, de parler.
Juste une grande cousine, qui m’a tant apporté...
" C’est la vie qui vient qui va "
Y’a celle pour qui je n’ai pas les mots
Cette soeur jumelle, et cette soeur de bêtise. Bêtise dans le sens être bête (une blonde et une kinder, que voulez-vous ?!), et non les conneries en actes. Quoique...
Y’a toi qui souffre inutilement sans que les mots n’apaisent...
Et toi qui te torture l’esprit, pour rien te dis-je, pour rien.
J’aimerais tellement tout résoudre d’un claquement de doigts, pour vous, tellement envie...
Junaca for, for, for ever dit-on... " Nous étions trois devant la vie "
Y’a celles pour qui je n’ai pas les mots
Et vous tous qui me faites ourire, pleurer, ou m’énerver, non j’vous oublie pas, non, j’ai peut-être les larmes, mais y’a juste ceux pour qui je ne trouve pas les mots...
Surtout, vivez, j’veux vous voir vivre, tous, tous !
Y’a ceux pour qui j’aurai jamais les mots...