Il ne reviendra plus
Il pestait contre la paix
Aurait, aimer la trouver en fait
La terre n’avait rien d’imparfait
Mais sa vie il voulait la planquer
¤,
Il se baladait sans soucis
De devoir dire des mercis
Quand tout lui appartenait ici
Qui ne soit objet des nantis
La nature était sa prison
Il y vivait libre à façon
Pour y faire sa moisson
Du bonheur à foison
J’ai vu le beau turlututu
Tout nu dans la grande rue
À peine vu, il faisait la revue
Des bars connus où il avait bu
Chevalier de l’ordre du litron
Le kit de vin pour donjon
Où flottait la bannière du démon
De la boisson sa grande passion
Il se nourrissait de riche rebus
Il était vacciné contre le pue
Rien il ne voulait qu’il n’eu du
Sa richesse ; celle d’être têtu
Sa maison chaude construite carton
Etait un palace sans savon
Son parfum aux odeurs de lardons
Le laissait solitaire loin des barons
Le bougre était philosophe de bon matin
De Diogène il connaissait le riche butin
D’une sagesse acquise au dévoué bien malin
De la nature, amante des plaisirs surfins
J’ai vu le beau turlututu
Tout nu dans la grand’rue
Il s’est perdu dans ses nues
Pour fuir son paradis cossu
Sous ses pieds, là disparu
Il ne reviendra plus.
Ton bonheur ci je ne le croiserai plus
?