L’amour vrai
Seigneur à son air
L’amour à sa bannière
Prédateur amant sans peur
Couché, sur son rêve d’hier
Il revint fier
Hanté ma misère
Je lui fis part de ma prière
Je te libère
Affranchi de tes fers
Tu m’indiffères
Seul mon amour oui j’espère
En volage ne se faire
Quand nos corps s’affairent
Mon sentiment austère
Ne sera ton repaire
Tes plaisirs il saura défaire
Et ton bonheur être autre affaire
Là est le prix musclé qui adhère
A tout sage libertaire
L’amour vrai
Est celui qui sait
En duo s’enfermer
Fidèle y rester
Pour que le bonheur consommé
A votre vie soit cloné
Au permanent de votre éternité
Là où se construit l’édifice protégé
Du bel avenir enraciné
Quand le plaisir régulier
Ne vous laisse, affamé
Et que là n’est solitude
Qui Hurle les velléités
D’affectives misères usées.
?CF