Mon cher Georges
Je suis mon amie satisfait de vous avoir vue ce jour,
L’envie me prends soudain de vous baiser
Les mains, de vous revoir et laisser les mots errer
Et si vous accepter, je pourrai encore Jouir
De votre présence amicale et d’un regard ébloui
Caresser vos précieux atours et je vous assure
Que La profondeur de ma joie, n’aura d’égal
Que la chaleur de ma main
Qui écrit ces doux mots d’amitié que je vous dédie
Faisant frissonner votre peau claire
Et quand vous serrerez ma lettre sur votre cœur elle
Touchera les zones sensibles.
Dissimulées au fond de vous
Je serais nu et frissonnant
De peur, craignant votre jugement
Quand Vous viendrez enfin à moi
Me rassurer et me prier de vous déclamer ce sonnet
Je me sentirai alors si heureux de voir votre bouche
De mes paroles si claires
Boire le divin nectar.