Je quitte la feuille morte d’une région automnée,
préservant ainsi les silences d’une phrase estimée.
Je reprends la plume et la prendrai longtemps
Pour ne cueillir
Que les vents des superbes
Le diable a chu
En ses heures sans noms
Multipliées en jours
Impardonnables
Je n’irai pas le chercher