je n’ai plus aucune énergie
Je suis floué sans réaction
D’autres naviguent et bataillent
Et recherchent les distractions
Je suis couché je suis sans vie
Dans la vie il n’est rien qui m’aille
C’esr une erreur aberration
De mes instints une pagaille
Où me jette l’aliénation.
J’ai perdu le goût de me battre
De désirer, d’inanition
Je mourrais si par l’affection
De ma mie qui se met en quatre
Je n’étais, au coin de notre âtre
Cajolé comme un nourrisson.
FREDERIQUE DELPEYRAC