Solitaire aux confins du désert,
j’y promène sans laisse ma peine,
loin du silence qui la renforce,
loin du vent qui cherche à l’endormir avec son chant dans les roseaux.
Et je revis la chaleur de notre rencontre,
la renaissance de ces sentiments oubliés,
je sais maintenant que vous êtes là.
La solitude et la peine que je sentais ne sont que de vilains tours joués par le vent jaloux du souffle qui nous rapproche.
Amie, si je ne dois jamais vous rencontrer, faites en sorte, au moins, que je ne sente jamais le manque de vous...
Dans ces moments à pensées troubles,
je repense à vos mots,
les images défilent sur l’écran figé,
le charme, l’élégance et votre générosité.
Vous êtes un trait de lumière éblouissante,
ou bien est-ce votre sourire qui donne à "notre histoire" cette dimension surnaturelle ?
Amie, si je ne devais jamais te rencontrer, fais en sorte, au moins, de te rappeler à moi.
Un sourire, de temps en temps,
...
Juste pour tenir le coup...