Chère Pologne,
Pays de contrastes,
Pays de lumières,
Tu m’as accueilli les bras ouverts.
Je ne te connassais pas.
Il m’a fallu seulement cinq mois,
Pour vouloir marcher dans tes pas,
Et rester dans tes bras.
Pourquoi pas sous mes draps.
J’ai pu explorer
Tes endroits les plus civilisés,
Comme tes parties inhabitées.
C’est ton corps tout entier,
Que j’ai aimé carresser.
Et toi tu m’as offert la passion,
La découverte et la sensation,
L’émerveillement et les frissons,
L’amour et l’émotion.
Comment te montrer
A quel point tu m’as touché ?
Ce nom féminin que l’on t’as donné,
Surement pour légitimer
Des envies de t’aimer.
Alors veux-tu m’épouser ?
Fais au moins de moi ton amant, ton désiré.
Je ne veux te quitter.
Ma Pologne,
Femmes de contrastes,
Femms de lumière,
Garde-moi tes bras ouverts.