Tôt, ce matin, je me suis promené
et laissé là ma voiture de côté
dans les bois, les arbres sont alignés,
et le vent balaie mon visage embrumé
ma vie est morne, elle me fait pitié ;
je voudrais tant la rendre plus gaie
moi, à la quête d’un bonheur perdu,
derrière la haie, je me suis étendu.
je regardais la nature autour de moi,
les oiseaux répondaient à mon désarroi
retrouvant le sourire, je me suis relevé ;
je cherchais la paix et elle m’a trouvé.
...