Berceau de toute vie,
Je te vénère.
Lieu de l’armonie,
Je te respecte,été comme hiver.
Quand j’ai besoin de me détendre,
De retrouver mon équilibre,
Je m’immerge dans ta verdure tendre,
Pour en ressortir plus libre.
Tes parfums m’enivrent
Et me remplissent d’énergie.
Tes chants font fondre le givre
Qui bloquait mes synergies.
Mon corps en manque,
Se lance dans une course au long cours.
S’ouvre toute grande ma banque,
Où mes muscles avaient le souffle court.
L’orchestre des oiseaux m’accompagne
Tout au long de mon périple.
C’est au milieu de la campagne,
L’explosion de douceurs,en double,en triple.