De tes algues brunes
une couronne de soif ranimée
mes encres, soeurs de poésie
dessine une ronde lointaine.
Sois la femme sultane
de mon radeau liberté
pour m’aimer à nous rompre
aux falaises des yeux unis
De mes mains posées
sur tes visages multiples
ruisselle de l’or bleu
l’originel du royaume inconnu.
Sois la fille pureté
assouplie dans l’alcôve
de nos corps unifiés
s’échappe le règne de la vie
De notre lune
noyée des regards
Juste l’espoir
de cette beauté éternelle.
Sois la princesse du pays de nos cœurs.