Enfin, la nuit tombée
l’air devenait plus doux
toi et moi allongés
et le ciel du mois d’aout
Odeur de l’herbe sèche
et nos voeux en attente
nos yeux à la recherche
des étoiles filantes
Et lassés de leurs courses,
et puis de La Grande Ourse,
Tu m’appris Cassiopée
Mais depuis ton départ
je n’ai plus voulu voir
La belle Cassiopée
Ristretto décembre 2007