"Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n’est plus pareil et tout est abîmé
C’est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n’est même plus l’orage
De fer d’acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l’eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien."
... Alors, vois-tu ami-humain, ces nuages de fer et de sang, n’ayant plus rien à se mettre sous la mâchoire d’acier, s’en vont, télé-guidés par des "hommes-loups" qui ne veulent pas se salir les mains, pourrir la vie de braves gens qui ne demandent eux qu’une seule chose : QU’ ON LEUR FOUTE LA PAIX !
VRAI QUOI, FOUTEZ-NOUS LA PAIX DANS LE MONDE, UNE BONNE FOIS POUR TOUTE QU’ON N’EN PARLE PLUS ! (mais restons alors extrêmement vigilants pour que la folie des hommes-loups ne revienne jamais, jamais, jamais,..
Qu’on ne se méprenne pas, je ne me suis pas trompé de catégorie, ceci est un POEME-CRI-D’AMOUR, sans lui, pas de miracles possibles !
Qu’on se le dise, faites passer le message à au moins trois milliards de vos contacts habituels (voir onglet carnet d’adresse), SURTOUT : si vous voulez du bonheur dans les 5 prochaines minutes : ne cassez pas la chaîne de l’amitié ou vous vous retrouverez les chaînes aux pieds...
Oui, je sais, je ne peux jamais m’empêcher de rêver.. Bon, c’est pas que je m’ennuie de vous, mais je m’en retourne à mon cauchemar quotidien, c’est l’heure du journal télévisé... (ne pas oublier un seau en cas de nausées...)