Que dans ma vie survienne une rencontre fortuite
Que la chaleur d’une flamme scintille,
Que vos charmes mes sens à nouveau titillent,
A mon désespoir, me retranchait dans la fuite.
Tant et tant parlent de ce qu’ils ne connaissent,
Tant et tant disent l’Amour, l’Amitié...
Amour, Amitié, ces mots hier si doux me torturent.
A mal les utiliser, ils perdent leur portée.
Musiques qui ne résistez pas à la première anicroche,
l’hiver solitaire me renvoie l’écho de vos harmonies.
Pourriez faire que sans vous ne naisse un jour ;
Oubliez, s’il vous plait, le mensonge du toujours.
Que l’ami passe l’étape du copain, du vous à tu.
Que la flamme réchauffe mais ne brule.
Tant et tant parlent de ce qu’ils ne connaissent,
Tant et tant disent l’Amour, l’Amitié...
A tout vouloir trop vite, sans attendre
Le désir l’on pervertit, devient devoir
Les meilleurs sentiments créent le décevoir.
A leur vérité, laissez moi tendre ;
Alors, il se pourrait que j’en oublie le temps.
Qu’à un jour s’ajoute la multitude,
Que l’entente fasse naitre la connaissance,
Et que de nous connaitre, ma vie se nourrisse.
Je ne crois plus aux rencontres fortuites.
Je sais la chaleur d’une flamme qui scintille.
Je suis réchauffé, venez me bruler,
Me consumerai, de l’Amour il est temps.