Mes mains dans tes cheveux
Qui s’enlacent et qui dansent.
Des larmes à mes yeux
Des cris en provenance.
Des mots comme des reflets
Dans ton cœur en partance.
Des nuits d’éternité
Des rêves en mouvance
Et la vie prend un sens.
Un soir comme un aveu
Le ciel et son silence.
A ton image un homme
Rugissant d’impatience.
Une petite pensée
Baignée de ta présence.
Un chemin dévié
Vers une délivrance
Et la vie prend un sens.
Et de tourner en rond
De n’aimer que t’aimer.
Et plus le temps est long
Et je me sens pressée
De tellement t’aimer,
Sans penser au danger.
Et je me sens piégée
De n’aimer que t’aimer,
Mais la vie a un sens.