Mon regard desormais, se tourne vers la Dorée,
Maîtresse du ciel éclatant,
Où nul orage ne s’étend,
Et où résonnent les sistres hallucinés...
A ma Déesse, j’ai fait une prière,
Elle m’a donné la lumière,
La sensibilité et l’ivresse,
Les secrets de ses danses improvisées,
Ma bien-aimée, je loue ta majesté,
Le plus simple de tes gestes,
Semble porté par les chimères celestes,
Hathor, mon amour, ma Dorée...
Desormais, je ne connais que toi,
Maîtresse des cieux blancs,
Où nul orage ne prétend,
Obscurcir notre ocean ensoleillé.