Il existe au bout du chemin,
l’unique refuge
aux simples poussières.
Si fragile de loin
l’amour n’y est plus humain
et piétine le reste.
Là-bas, je préserverai
le point majuscule de l’infini.
Je n’irai pas ailleurs.
En attendant l’ensemble,
je vivrai sur ce cercle
où parfois tu seras présente.
Et pour que l’arrondi devienne la vie.
je m’ouvrirai le cœur
pour mieux t’absorber.