Ils étaient là, tout deux assis sur un banc. On les comparaît à des statues. On aurait même pu s’y tromper. L’amour les avait détruits sans le savoir. La routine avait emporté leur cœur. Les jours se suivaient et ils étaient pareils ! Rien ne pouvait plus les changer.
Pourtant un jour l’homme n’y était plus, le décor était transformé pour nous. On était comme rentré dans leurs habitudes. Terrifiés à l’idée que l’homme avait quitté le décor, On s’approcha de la dame. On remarqua que la position de sa main était celle d’une main qui tenait une autre, son regard était fixe mais l’on pouvait distinguer une larme qui glissait sur sa joue.
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