Ne bâtissons pas notre amourComme une architectureNous en ferions vite le tourViendraient les déchiruresMa mie voudrais-tu bien resterMa tendre incertitude ?Quoi de pire que d’installerDe plates habitudesCar il est si bon d’espérerL’heure de nos rencontresEt de languir ton arrivéeEn regardant la montreComment seras-tu habillée ?Quand s’ouvrira ma porte ?Oublions la banalitéQue le diable l’emporteContinuons d’imaginerLes mots qu’on va se direEt le regret de nos baisersA l’heure du partir9.01.2004
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Lettre à la mie
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